mardi 26 février 2013

JE RENONCE À L’ÉTAT DU VATICAN, À SES POMPES ET À SES ŒUVRES"





L’heure de la conversion, celle qui nait du cœur et de l’esprit, est arrivée. L’Humanité ne peut plus se raconter des histoires. Avec les moyens de communication dont le monde dispose aujourd’hui, elle porte son regard sur les sept milliards de personnes qui habitent cette terre, aspirant toutes à la vérité, à la justice, à la solidarité, au respect et à la compassion. Elle ne peut plus mettre son destin entre les mains de pouvoirs et d’empires dont les intérêts sont de toute autre nature et dont les acteurs sont limités à une minorité de privilégiés.

Le temps de la conversion est arrivé, particulièrement pour ceux et celles qui ont pris prétexte de ces grandes valeurs dont sont porteurs, entre autres, les Évangiles et le Nazaréen, pour bâtir leur petit royaume à l’image de celui des empires et des conquérants. Il en est ainsi de l’État du Vatican que l’on confond injustement avec l’Église, corps spirituel de la communauté portée par l’Esprit du Nazaréen, esprit de justice, de vérité, et de compassion. Il s’agit de deux réalités fort distinctes dont les principes de vie sont d’un ordre totalement différent.

Le Vatican est un État dont la réalité et les objectifs se moulent avec ceux des oligarchies et des empires qui dominent nos sociétés. Il est le bras religieux qui transforme en sauveurs, les conquérants, qui bénit les armées et condamne ceux qui en sont leurs adversaires, faisant de tous ces derniers, des terroristes, des communistes, des marxistes, des ignorants sans sens et sans valeur. Il est un allié objectif de l’instauration de ce nouvel ordre mondial auquel s’adonnent les grandes puissances de ce monde.

L’Église, par contre, est cette communauté de vie qu’unit l’Esprit de vérité, de justice, de solidarité, de respect et de compassion. Elle englobe toutes les personnes de bonne volonté qui répondent prioritairement, par leur vie et leurs œuvres, à ces impératifs pour une Humanité à visage toujours plus humain. Le caractère universel de cette dernière prend en compte les sept milliards d’êtres humains qui ont tous et toutes également droit au banquet de la vie. Nous n’en sommes vraiment plus à ces groupes privilégiés, à ces castes et à ces empires qui décident du sort des autres. Nous en sommes à une convergence des forces de transformation de nos sociétés pour une humanité meilleure et plus solidaire. Les pays émergents de l’Amérique latine et les solidarités qu’ils inspirent aux peuples à travers le monde en sont un bel exemple.

C’est en ce sens qu’il faut comprendre le titre qui coiffe cet article. La foi n’est pas matière à compromis, elle ne peut être ni froide ni chaude. Elle est, dans ses fondements, radicale. En ce sens, on ne peut, au nom de la même foi, être un allié fiable pour l’État du Vatican et, en même temps, un allié fiable pour cette communauté de vie portée par cet esprit de vérité, de justice, de solidarité et de compassion.

Serait-ce un signe des temps, cette démission de Benoît XVI qui, selon les prédictions du moine Malachie, laissera la place au dernier pape, lequel connaitra la fin de l’État du Vatican et de tout ce qui va avec?

« Dans la dernière persécution de la sainte Église romaine siégera Pierre le Romain, qui paîtra ses brebis au milieu de nombreuses tribulations. Celles-ci étant passées, la ville aux sept collines sera détruite et le Juge terrible jugera son peuple. »

Si on en croit la description que nous donne l’évangéliste Mathieu de ce jugement, ce dernier portera essentiellement sur les points suivants :

Aux uns, il dira : «Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume qui vous a été préparé depuis la fondation du monde. Car j'ai eu faim et vous m'avez donné à manger, j'ai eu soif et vous m'avez donné à boire, j'étais un étranger et vous m'avez accueilli, nu et vous m'avez vêtu, malade, et vous m'avez visité, prisonnier et vous êtes venus me voir. »

Alors les justes lui répondront : «Seigneur, quand nous est-il arrivé de te voir affamé et de te nourrir, assoiffé, et de te désaltérer, étranger, et de t'accueillir, nu, et de te vêtir, malade ou prisonnier et de venir te voir?»

Alors il leur fera cette réponse : «En vérité, je vous le dis, dans la mesure où vous l'avez fait à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait. »

Aux autres, il dira : « «Allez loin de moi, maudits, dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et ses anges. Car j'ai eu faim et vous ne m'avez pas donné à manger, j'ai eu soif et vous ne m'avez pas donné à boire, j'étais un étranger et vous ne m'avez pas accueilli, nu, et vous ne m'avez pas vêtu, malade et prisonnier et vous ne m'avez pas visité. »

Alors ceux-ci lui demanderont à leur tour : «Seigneur, quand nous est-il arrivé de te voir affamé ou assoiffé, étranger ou nu, malade ou prisonnier, et de ne te point secourir?»

Alors il leur répondra : «En vérité je vous le dis, dans la mesure où vous ne l'avez pas fait à l'un de ces plus petits, à moi non plus vous ne l'avez pas fait. » (Mt,25 :34-45)

Bref commentaire :

Vous aurez remarqué quil ny a aucune référence, dans ce jugement, à quelque foi religieuse que ce soit, pas plus quaux pratiques cultuelles qui les caractérisent, ni de référence aux races pas plus quil ny a de discrimination par rapport à la couleur de la peau. Tout peut se résumer à cette simple question : quas-tu fait et que fais-tu de ton frère et de ta sœur en qui coule le sang de lHumanité ? Voilà, me semble-t-il, la véritable question qui nous est posée, le véritable défi quil nous faut relever.

Oscar Fortin
Québec, le 22 février 2013


jeudi 21 février 2013

LE VATICAN COIFFÉ DE L’ORDRE DE MALTE ?





Deux évènements ont attiré particulièrement mon attention à l’occasion de la démission de Benoît XVI. Le premier est celui de sa rencontre, les jours précédents, avec le Grand  Maitre de l’ordre de Malte et le second, dans les jours qui ont suivi, de la nomination d’un nouveau Président de l’Institut pour les œuvres de religion (IOR) ou si l’on veut  de la banque du Vatican en la personne de l'Allemand Ernst von Freyberg, membre de l’ordre de Malte. Cette nomination soulève déjà certaines critiques.

Ces deux évènements m’ont intrigué et incité à mener quelques recherches sur cet Ordre de Malte qui m’était pratiquement inconnu. Grâce à Google, j’ai découvert des informations qui sont de nature à faire réfléchir sur les véritables pouvoirs qui sous-tendent  cet Ordre et l’influence qu’il peut exercer sur l’administration vaticane. Là, comme dans nombre de gouvernements, il y des pouvoirs occultes auxquels ceux qui occupent des fonctions officielles se doivent d’obéir. Il faut croire que l’Esprit-Saint n’est pas toujours la première et la plus directe référence des autorités ecclésiales en place.

Voici donc quelques informations que j’ai cueillies ici et là sur Google. Je pense que le sujet mérite d’être approfondie davantage. Pour le moment, je rapporte, dans un premier temps, ce que l’Ordre de Malte dit d’elle-même et dans un second temps ce que d’autres en disent. Je laisse aux lecteurs et lectrices de cette brève présentation  d’en poursuivre l’analyse et d’en dégager les conclusions.


Sur le site officiel de l’ORDRE DE MALTE nous apprenons qu’il s’agit d’un Ordre religieux, jouissant d’une totale indépendance des autorités vaticanes et que leur Grand Maitre est élu à vie par le Conseil complet d’État. Son statut en fait automatiquement un cardinal, confirmé par le pape et avec tous les pouvoirs et privilèges rattachés aux membres du Sacré collège des cardinaux.

« Le Grand Maître exerce la suprême autorité. Avec le Souverain Conseil, le Grand Maître prend les mesures législatives non prévues par la charte constitutionnelle, promulgue les actes du gouvernement, gère les avoirs du Commun Trésor, ratifie les accords internationaux et convoque le Chapitre Général.
Il porte le titre d’Altesse Eminentissime.

Les Etats avec lesquels l’Ordre entretient des relations diplomatiques reconnaissent au Grand Maître les prérogatives, les immunités et les honneurs dus aux chefs d’Etat. Le rang de Cardinal lui est reconnu par la Sainte Eglise Romaine. Le Grand Maître réside au siège de l’Ordre, le Palais Magistral à Rome. »

« Sujet de droit international public, l’Ordre possède sa propre constitution, ses propres institutions et émet des passeports et des timbres. Le 79e Grand Maître, Fra’ Matthew Festing, a été élu à vie à la tête de l’Ordre le 11 mars 2008.
L’Ordre entretient des relations diplomatiques avec plus de 104 pays, dont beaucoup ne sont pas catholiques, il est représenté officiellement auprès des principaux Etats européens, de la Commission Européenne et des principales organisations internationales. L’Ordre de Malte est neutre et apolitique, ce qui lui permet d’assurer un rôle de médiateur entre des Etats en conflit. »

« Parmi ses 13 500 membres, on compte des frères profès ainsi que des Chevaliers en Obédience. Les autres Chevaliers et Dames sont des laïcs dévoués à l’exercice des vertus chrétiennes et de la charité. Tous se distinguent par leur volonté de tendre à une perfection spirituelle au sein de l’Eglise et de mettre leur énergie au service des déshérités et des malades.
L’Ordre de Malte demeure fidèle à ses principes fondateurs que résume la devise “Tuitio Fidei et Obsequium Pauperum”, protection de la foi et service des pauvres, principes qui se concrétisent par le travail bénévole effectué par les Chevaliers et les Dames de l’Ordre dans le domaine de l’aide humanitaire et médico-sociale. Aujourd’hui, l’Ordre exerce sa vocation dans plus de 120 pays à travers le monde. »

« On ne peut devenir membre que sur invitation. Seulement les personnes de haute moralité et catholiques pratiquantes, ayant acquis avec les années d’importants mérites vis-à-vis de l’Ordre de Malte, de ses institutions et de ses oeuvres, peuvent être admises. Le Grand Prieuré ou l’Association Nationale de compétence territoriale sont responsables des propositions d’admission. »

Les activités de l’Ordre sont essentiellement financées par ses 13 500 membres. Les fonds proviennent également des dons et contributions des bienfaiteurs qui soutiennent les activités de l’Ordre. Les ressources nécessaires pour les hôpitaux et les diverses activités médicales sont généralement obtenues grâce à des accords passés avec les services sociaux et les organismes de santé locaux. Il en va de même pour les services d’intervention d’urgence. Dans les pays en voie de développement, les activités de l’Ordre peuvent être subventionnées par les gouvernements, la Commission Européenne ou d’autres organismes internationaux.

Cette présentation de l’Ordre et de sa mission est bien résumée dans cette entrevue d’Hélène Destombes avec Dominique de la Rochefoucauld, président de l'association française de l'Ordre. Les pauvres et les déshérités de la terre représentent le peuple  au service duquel ils se mettent au service.


L'Ordre des Chevaliers de Malte est un des facteurs déterminants qui permettent de comprendre l'influence que le Vatican a su développer au cours de son histoire. Les chevaliers de Malte se définissent comme l'Ordre Souverain Militaire de Malte, ils ont joué un rôle prépondérant dans notre histoire moderne. C'est une organisation internationale, qui a des ramifications dans toutes les couches de la société, le commerce, la politique, les banques, les services secrets, l'Église, le monde de l'éducation, l'armée, la loge P2, l'ONU, l'Otan, etc.

Dans les années 30, les chevaliers de Malte ont recruté le général Smedley Butler, considéré comme ayant une influence sur la prise du pouvoir à la Maison Blanche. Il était bien introduit dans la hiérarchie militaire, ce qui était un argument de première importance. Mais le général a vendu la mèche et a donné le nom des comploteurs. À leur tête se trouvait Raskob, un des fondateurs des chevaliers de Malte aux Etats-Unis et leur trésorier. Il était également président du conseil d'administration de la General Motors, le plus grand complexe industriel du monde. Il y a eu une commission d'enquête au Congrès, mais aucun des protagonistes cités n'a été condamné, Raskob non plus. Malgré le fait que l'on trouve ces informations dans les archives du Congrès, elles n'ont jamais été reprises dans un livre d'histoire ce qui montre bien l'étendue de l'influence de cette organisation

SUR CETTE PHOTO LE GRAND MAITRE DE L'ORDRE AVEC LE PRÉSIDENT BUSH

Il est intéressant d'observer les analogies entre le scandale de l'Irangate et ce complot des années 30. William Casey était un chevalier de Malte, et avec l'aide de George Bush, d'Anne Armstrong et de Ronald Reagan, il réussit à affaiblir le conseil de surveillance des services secrets pour les Affaires étrangères de telle sorte que lui-même, Bush et North purent traiter leurs affaires en toute illégalité, sans être détectés. Ils avaient également élaboré un plan pour modifier la Constitution, ce qui fut révélé à la commission du Congrès. Mais le président du Congrès, le sénateur Daniel Inouye, de Hawaii, ne leur en tint pas rigueur.

W. Casey a été chef de la CIA, membre du CFR et chevalier de Malte. Il était la tête pensante de la campagne électorale de Reagan, à la tête de la commission boursière et directeur de la banque du commerce extérieur pendant la présidence de Nixon.

Pier Compton décrit dans son livre "La croix brisée", de façon précise, comment les Illuminati ont infiltré le Vatican. L'oeil qui voit tout à l'intérieur du triangle est un symbole luciférien utilisé abondamment par les responsables catholiques et jésuites. On le retrouve dans le logo du Philadelphia Eucharistic Congress de 1976, et sur un timbre du Vatican de 1978, avec la description symbolique de la prise de pouvoir réussie des Illuminati. Compton relate que l'oeil qui voit tout à l'intérieur du triangle était gravé sur la croix personnelle du pape jean XXIII. Il révèle de plus que des centaines de prêtres, d'évêques et de cardinaux sont membres de sociétés secrètes. C'est valable pour le secrétaire privé du pape, le directeur général de Radio Vatican, l'archevêque de Florence, le prélat de Milan, l'éditeur du journal du Vatican, le responsable de l'ordre des Bénédictins. Ces personnes sont celles qui sont connues en Italie, sans parler de ceux qui sont membres de la fameuse loge P2. Le premier ambassadeur américain au Vatican s'appelait William Wilson, il était chevalier de Malte. Son accession à ce poste était entachée d'illégalité et contraire à l'éthique, puisqu'il avait juré obédience au pape et qu'il ne pouvait donc pas être en même temps le représentant des États-Unis.

Ronald Reagan a tenu un discours à l'assemblée annuelle des chevaliers. La plupart des membres de cette organisation profitent de l'immunité diplomatique, ce qui facilite grandement les opérations de l'Ordre. La colonne vertébrale des chevaliers de Malte est la noblesse. La moitié de leurs 10.000 membres appartient aux plus vieilles famillles d'Europe, ils renforcent ainsi le lien entre la Noblesse Noire et le Vatican. À la tête de la Noblesse Noire on trouve la famille qui a pu prouver son lien de parenté avec le dernier empereur romain, les Habsbourg! Le Vatican a fondé dans le New jersey le centre Jean Paul II pour la prière et la recherche de la paix. C’est Elmer Bost, mort en 1978, qui a légué la maison, par l'entremise de l'archevêché de New York. Bost était multimillionnaire et dirigeant de la Warner Lambert Company. Les directeurs successifs du centre ont été Kurt Waldheim, ex-secrétaire général de l'ONU, impliqué dans les crimes de guerre nazis, Cyrus Vance, ancien ministre des Affaires étrangères sous Jimmy Carter, membre du CFR et de la TC, Clare Booth Luce membre des chevaliers de Malte, et Peter Grace, président des chevaliers de Malte aux États-Unis. Le centre fait partie du nouveau plan de paix papal qui doit contribuer à l'unification du monde. Voici les 3 principaux objectifs attribués au centre:

1. Éducation et préparations des catholiques et de leurs enfants à accepter le nouvel ordre mondial.
2. Devenir le siège du grand ordinateur de la paix, pour surveiller et trouver des solutions aux problèmes qui mettraient en danger la paix mondiale.
3. L'ordinateur est chargé de trouver les solutions adaptées aux problèmes qui pourraient se poser.

CONCLUSION

Que doit-on en penser?

Il est difficile de voir tous ces personnages, se disant dévoués aux pauvres, aux malades et aux déshérités de la terre, s’envelopper de tous les privilèges des grands de ce monde ainsi que de leurs richesses. Je les vois mal, en compagnie du Nazaréen, humblement vêtu, sur les routes de Galilée. Nous sommes loin des témoignages de l’abbé Pierre  de Mère Teresa, de soeur Emmanuelle et de combien d’autres témoins, toutes croyances ou non-croyances confondues.

À ma connaissance, c’est la seule organisation, à caractère religieux, qui a le privilège d’élire son propre cardinal que le Pape confirmera par la suite, dans le cadre d’une procédure de routine. Un privilège que même la Compagnie de Jésus, cet ordre religieux, fondé par Ignace de Loyola et entièrement au service du Pape, n’a pas.

Je suis particulièrement étonné que cet Ordre ait un statut d’État, bien que sans territoire et sans peuple, et qu’il soit représenté comme tel dans plus de 104 pays, qu’il ait une représentation aux Nations Unies, à l’OTAN et dans de nombreux autres organismes internationaux.

Je me demande si dans tous ces cas, il ne fait pas double emploi avec les représentations du Vatican, également présents dans toutes ces instances. Alors, pourquoi cet Ordre revêt-il autant d’importance pour le Vatican, ces pays et ces organisations internationales ? Je ne crois pas que ce soit pour soulager les pauvres, les malades et les déshérités de la terre.

Finalement, la grande interrogation est de savoir si les pauvres et les malades ne sont pas tout simplement un prétexte pour couvrir d’autres activités, moins catholiques, celles-là, au service d’un nouvel ordre mondial sous contrôle des puissances de l’Occident. C’est ce que semble suggérer certains faits relevés dans les documents cités plus haut.

À mes yeux l’Ordre de Malte m’apparait plutôt suspect, œuvrant main dans la main avec les puissances qui dominent nos sociétés. Il m’apparait comme le bras religieux du nouvel ordre mondial auquel s’adonnent les grandes familles Bilderberg, Rockefeller et les organisations qu’elles chapeautent.

Enfin, jusqu’à quel point le Vatican et tous ses pouvoirs ne sont-ils pas déjà sous le contrôle du  Grand Ordre de Malte ?

Oscar Fortin
Québec, le 19 février 2013



facteurs déterminants qui permettent de comprendre l'influence que le Vatican a su développer au cours de son histoire. Les chevaliers de Malte se définissent comme l'Ordre moderne. C'est une organisation internationale, qui a des ramifications dans toutes les couches de la société, le commerce, la politique, les banques, les services secrets, l'Église, le monde de l'éducation, l'armée, la loge P2, l'ONU, l'Otan, etc. Cet ordre n'est pas la plus